La blessure de trahison –  semaine 5 –  Un voyage vers la guérison intérieure

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Bienvenue chère lectrice et cher lecteur, pour la suite de notre voyage,

 Cette 5ème semaine, nous explorons la blessure de trahison. Celle-ci, d’ailleurs  comme chacune des 5 blessures de l’âme (rejet, abandon, humiliation, trahison et injustice), n’est pas un simple épisode douloureux, c’est une mémoire ancienne, portée depuis des vies antérieures qui se réactive pendant notre enfance afin d’être reconnue, comprise, sentie, guérie, c’est un chemin d’âme.

 C’est un apprentissage intérieur, exigeant, mais profondément libérateur. Pour le « contrôlant » (masque de la blessure de trahison), c’est une invitation à faire confiance, à lâcher prise sur son besoin de vouloir tout contrôler tout le temps, à accueillir sa vulnérabilité tout en gardant sa force.

 Aujourd’hui, vous pouvez lui offrir une écoute et de la compassion.  

Sommaire

  1. Comment la blessure de trahison se forme-t-elle ?
  2. Ses caractéristiques
  3. Exemples concrets : comment la reconnaître ? Histoires de vie.
  4. Des outils pour avancer.
  5. L’exercice de la semaine.

Dans cette vie, selon les travaux de Lise Bourbeau, elle se réactive généralement entre 2 et 4 ans, au contact du parent du sexe opposé ou celui qui a joué ce rôle.

À cet âge, l’enfant vit dans une confiance absolue en ses parents. Le monde est encore magique, les mots des adultes sont des vérités. Alors, lorsqu’une promesse n’est pas tenue et parfois répétée, lorsqu’un engagement est rompu ou qu’un parent déçoit, c’est tout son système de sécurité intérieure qui s’effondre.

Et comme l’enfant ne peut pas encore comprendre la complexité des adultes, il interprète cette situation comme une trahison de sa confiance. Il en déduit inconsciemment : « Je ne peux pas faire confiance». Ainsi se forme le masque du contrôlant, ce mécanisme de défense puissant qui donne à l’adulte l’illusion de sécurité, mais qui l’enferme autant qu’il le protège.

Les caractéristiques de la blessure de trahison

 Ce masque du contrôlant s’exprime souvent de cette façon :

  • Il est exigeant, imposant, peut être agressif.
  • Il cherche à tout anticiper, tout prévoir.
  • Il a besoin de tout gérer, de  tout vérifier.
  • Il veut avoir raison.
  • Il  n’aime pas  l’imprévu, les changements de programme.
  • Il est assez méfiant dans les relations.

Derrière la posture du leader fort et fiable, souvent charismatique. Derrière ce besoin de tout contrôler, se cache un être vulnérable, épuisé de devoir tout porter seul, qui a peur d’être à nouveau déçu. Il aspire à faire confiance … sans savoir comment.

Reconnaître ces comportements, c’est énorme. Ce n’est pas une faiblesse, cela indique que quelque chose en nous a besoin d’attention, ces parties encore en souffrance.

 Vous êtes-vous reconnu (e ) dans ces exemples. Rappelez-vous, observez sans se juger est la première étape.

Ces comportements souvent inconscients peuvent avoir des conséquences sur notre quotidien et peuvent impacter notre vie relationnelle, émotionnelle, professionnelle et même physique.

Conséquences du masque du contrôlant (blessure de trahison)

1. Ses relations sont tendues et épuisantes

Le contrôlant veut que les choses se fassent à sa façon. Il déteste les surprises, délègue difficilement, et vérifie tout. Quel est le résultat ?

Les autres se sentent souvent étouffés, pas dignes de confiance, ou infantilisés. Cela peut créer des conflits fréquents dans son couple, dans son travail et dans sa famille ; des ruptures ; une solitude souvent mal assumée.

 2. Il est souvent fatigué surtout mentalement.

Contrôler les autres, soi-même, les situations, c’est épuisant. La personne est toujours en stress, avec une charge mentale énorme qui provoque des insomnies, des ruminations, peut mener au burn-out.

 3. Il ne fait pas facilement confiance

Il  part souvent du principe que les autres vont le décevoir ou lui mentir. Il vit dans une forme d’hypervigilance, dans la méfiance.

 4. Il ne montre pas ses émotions.

Cela le montrerait faible. Alors il peut paraître froid et même cassant. Quand la cocotte-minute bout, elle a tendance à éclater. Sa peur de perdre le contrôle l’amène souvent à exploser de colère.

 5. Problèmes de santé

Le corps exprime ce que nous tentons de retenir à l’intérieur, n’est-ce pas ?   Le contrôlant pourra avoir des douleurs aux épaules, des maux de dos, et des troubles digestifs.

Derrière ces mécanismes, il y a souvent des histoires bien réelles. En voici quelques fragments pour mieux les comprendre.

Marc, 42 ans, est aujourd’hui un chef d’entreprise à succès. Charismatique, ultra-efficace, organisé, rassurant en apparence. Passionné par son travail, il veut tout contrôler : son entreprise, ses équipes, son emploi du temps… même ses relations personnelles. Il ne délègue rien. Il a beaucoup de mal à faire confiance – surtout en amour. Il teste ses partenaires, inconsciemment, comme pour s’assurer qu’elles ne vont pas le trahir.

En réalité, Marc a peur. Peur de revivre cette blessure ancienne qu’il n’a jamais vraiment regardée en face.

Un souvenir d’enfance refait surface

En consultation, un souvenir qu’il croyait enfoui remonte. Enfant, sa mère lui avait promis d’être présente pour son anniversaire et de l’emmener à Disneyland. Il avait attendu ce moment avec une excitation immense, le cœur gonflé de joie. Mais le jour venu, elle n’est pas venue.  Pas de vraie explication, un flou, une immense déception. Il n’a jamais su ce qui s’était réellement passé.

Ce jour-là, quelque chose se fissure en lui. Une perte brutale de confiance. Une douleur qu’il ne comprend pas, mais qui s’imprime en lui comme une vérité profonde, ce qui devient une croyance : « On ne peut pas compter sur les autres. »

L’histoire de Claire, entrepreneuse brillante et solitaire

Claire, 43 ans, est fondatrice et directrice générale d’un cabinet de conseil. Brillante, exigeante, visionnaire. Ses collaboratrices disent d’elle : « Elle voit tout, elle sent tout, mais elle ne fait confiance à personne. »

En apparence, tout va très bien. Chiffre d’affaires en croissance. Équipe performante. Image de femme forte. Mais Claire se sent seule. Vidée. En colère, souvent. Elle dit parfois : « Je suis entourée, mais je me bats toujours seule. »

Souvenir d’enfance

Derrière ce sentiment d’isolement, une mémoire d’enfance refait parfois surface. Floue, mais persistante. Petite, elle idolâtrait son père, homme brillant, très pris par sa carrière. Il lui disait souvent :« Samedi, c’est notre journée. » 

Mais le samedi arrivait, et il annulait. « Trop de boulot », disait-il. Claire souriait poliment, puis montait dans sa chambre.

Claire a grandi avec cette idée : l’amour, c’est incertain. Elle s’est fait une promesse « Mieux vaut ne compter que sur soi ». Pour elle, dépendre, c’est risquer d’être déçue.

Comment cela se traduit aujourd’hui dans sa vie

  • Elle évite de déléguer les décisions importantes, même si elle est débordée.
  • Elle s’attache aux résultats.
  • Elle n’accorde pas sa confiance, même aux personnes loyales.
  • Quand elle perçoit un doute, une erreur, une hésitation : elle recadre sèchement, parfois avec froideur.
  • Dans ses relations amoureuses, elle impose un rythme précis, sinon elle se referme.

Elle croit que sa réussite vient de son hyper-exigence. Mais c’est peut -être un mécanisme de survie. Et ce qui la protège… l’isole et  l’empêche peut-être de goûter à une forme de paix, de plaisir, à de vraies relations.  

Guérir de la blessure de trahison, c’est renoncer peu à peu au contrôle total, et s’ouvrir à une autre manière de vivre,  peut-être de réussir autrement, en s’autorisant à faire confiance, à s’alléger, à être en lien.

Ce à quoi le contrôlant aspire vraiment :  Pouvoir faire confiance – Lâcher-prise sans peur – Des relations authentiques – Être aimé (e ) même imparfait (e )  – Retrouver la paix intérieure.

Ce chemin demande de la présence, du temps, de la patience et un vrai courage intérieur.

Alors, voici quelques ressources pour vous accompagner dans cette transformation.

7 outils concrets vers la guérison

1. Identifiez vos comportements de contrôle et acceptez-les

Pourquoi ? La prise de conscience est la première étape pour ne plus les subir automatiquement.

Comment faire concrètement ?
 Exercez-vous : Pendant 3 jours, prenez des notes dès que vous :

  • Coupez la parole à quelqu’un pour “corriger” ou “reprendre la main”
  • Refusez de déléguer alors que vous êtes débordé(e)
  • Vous sentez obligé(e) de vérifier, contrôler, anticiper chaque détail.

Posez-vous ensuite cette question : Qu’est-ce que je cherche à éviter ? Il y a toujours une peur derrière le contrôle. La déception ? Le sentiment d’impuissance ? Le simple fait de le voir est déjà un pas immense.

Le contrôlant croit que s’il relâche, il perdra son pouvoir, ou sera trahi à nouveau.
Mais en réalité, c’est ce contrôle lui-même qui crée la souffrance. L’acceptation permet le lâcher-prise et d’aller vers ce que vous voulez.

 2. Libérez-vous du besoin d’être irréprochable

Pourquoi ? Parce que le perfectionnisme cache souvent une peur d’être trahi ou jugé.

Comment faire ?
Exercez-vous  : Petite pratique : Choisissez une tâche dans votre journée où vous acceptez volontairement que ce ne soit pas “parfait” :

  • Une réponse mail un peu plus simple
  • Un repas pas totalement équilibré
  • Un rendez-vous où vous vous autorisez à dire : “Je ne sais pas”

 À la fin de la journée, notez : “Et qu’est-ce qui s’est passé ? De désagréable ou d’agréable ?

3. Réapprendre à faire confiance, en douceur

Pourquoi ? Parce que la confiance ne revient pas par magie, elle se reconstruit, pas à pas.  Comment faire ?

Exercez-vous :  Tenez un journal de la confiance

Chaque soir, notez 3 choses que vous avez laissées aller sans que tout s’effondre. Cela vous aide à voir que tout ne dépend pas de vous et que parfois, tout se passe bien… même sans contrôle.Petit à petit, en se réconciliant avec l’idée que l’autre peut être fiable, même imparfait, on relâche le contrôle.

Par exemple, pour commencer, vous pouvez répondre à ces deux questions :

  • À qui ai-je fait un peu confiance aujourd’hui ? (En disant ok avant de vérifier une énième fois, en laissant un collègue gérer un appel important…
  • Qu’est-ce que cela m’a permis de vivre ? (Un soulagement ? une surprise ? un lien ? des expériences positives ?  de la coopération ? )

Voulez-vous approfondir cet exercice en le pratiquant sur 7 jours avec davantage de questions ?  Si oui, allez directement à la fin de cet article.  Ce sera l’exercice privilégié  de cette  semaine 5.

4. Apprenez à dire ce que vous ressentez

Pourquoi ? Parce que se taire entretient la colère, la rancune et favorise la rupture, ce que vous ne souhaitez pas.

Comment faire ?

Exercez-vous : Phrase magique à tester cette semaine : “Je me sens tendu(e) – fatigué(e) – inquiet(e), j’ai juste besoin d’un peu de soutien, pas d’une solution.”

Exprimez une émotion sans blâmer, juste pour être entendu(e).  Apprenez à accueillir votre part de vulnérabilité comme une force.  Montrez votre humanité ne va diminuer le respect que l’on vous porte. Au contraire, cela crée des liens, de la coopération et de la confiance. 

 5. Apaisez, bougez le corps pour relâcher le mental

Pourquoi ? Parce que le corps enregistre le contrôle… alors redescendez dans votre corps, aidez-le à relâcher les tensions dues au besoin de tout tenir.

Comment faire ?   Exercez-vous  : Dans votre journée ou maintenant, arrêtez-vous 2-5  minutes pour :

  • Respirer : Inspirez 4 secondes, retenez 4, expirez 6 secondes, le plus longtemps possible (au moins 5 minutes). Vous pouvez également pratiquer « la cohérence cardiaque » (téléchargez une application sur votre smartphone).

Respirez profondément quand vous sentez  la colère monter. Cela calme l’hyperactivation du système nerveux.

  • Détendre vos épaules.
  • Remettre les pieds au sol, en conscience.

 En plus, faites-vous du bien :   une balade en pleine nature « sans téléphone », un massage, de la danse, ce que vous aimez.

6. Transformez vos anciennes croyances non-bénéfiques

Pourquoi ? Parce que ce sont elles qui vous font réagir, dirigent votre comportement.

Comment faire ?

Exercez-vous : Prenez une croyance ancienne du type : “Si je ne contrôle pas, on va me décevoir.” « Plus jamais je ne me ferai avoir. » « Je ne dépendrai de personne. » « Je dois être irréprochable. »

Puis transformez-la par une phrase douce et réaliste : “Je peux poser des limites tout en laissant de la place à l’autre.” “Faire confiance ne veut pas dire être naïf (ve).” « Je suis capable de coopérer sans me perdre. » « Je peux lâcher le contrôle sans perdre ma valeur, mon autorité. »

Sans forcer, on peut commencer à regarder les blessures de l’enfance avec un regard neuf. Comprendre que les fameux « traîtres » d’hier étaient souvent eux-mêmes blessés, et qu’il est possible de ne plus leur laisser le pouvoir sur notre présent.  Nos parents ont fait ce qu’ils pouvaient.

7. Nourrissez des relations saines et réciproques

Pourquoi ? Parce que la guérison passe souvent par l’expérience directe du lien.

Comment faire ?  Petite mission  :

  • Choisissez une personne de confiance.
  • Dites-lui une chose positive ou demandez-lui un petit service.
  • Observez votre ressenti.

 Vous (re)découvrez que vous pouvez recevoir sans perdre le contrôle.

L’enseignement final, c’est celui de l’amour incarné, imparfait mais vrai.
Aimer avec conscience, sans attendre que l’autre remplisse nos vides.
S’aimer assez pour ne plus s’abandonner quand l’autre déçoit.

En bref  : Les clés de la guérison de la blessure de trahison

  • Observer ses mécanismes de contrôle avec bienveillance.
  • Accepter sa vulnérabilité comme une force.
  • Apprendre à exprimer ses besoins sans agressivité.
  • Pratiquer la confiance, pas à pas.
  • Se reconnecter à son corps et au moment présent.
  • Identifier et remplacer ses croyances limitantes.
  • S’ouvrir à des relations imparfaites mais vraies.

Voici quelques signes qui montrent qu’une transformation intérieure est en cours. Rien ne se fait en un jour, mais ces petites avancées sont déjà des victoires.

Les signes de la guérison
Avant (la blessure active)  Après (guérison en cours)
Exigeant, imposant, impatient

Attaché à sa réputation, à ses titres ; besoin d’être vu (e ).

Dirige en donnant des ordres, avec autorité ou

  Blâme subtilement pour garder le pouvoir ou ne pas perdre la face.
Plus souple, flexible, à l’écoute

Ancré dans sa valeur intérieure.

Inspire et valorise les autres en  reconnaissant leurs qualités et leurs talents.

Assume ses émotions et ses erreurs sans chercher un coupable  
  Veut tout gérer, tout organisé, tout prévoir.    Apprend à déléguer et à faire confiance.
  Certain(e) d’avoir raison, impose son point de vue, parfois avec agressivité ou par manipulation subtile.  S’affirme sans écraser, écoute les autres, accepte les désaccords avec calme
  Méfiant(e), toujours sur ses gardes.    Ouvre progressivement la porte à la confiance, tout en posant des limites saines

L’exercice de la semaine : Tenir un journal de confiance – 7 jours pour desserrer le contrôle

Objectif : expérimenter, de façon consciente et progressive, la confiance dans les autres et dans la vie. L’idée n’est pas de tout lâcher, mais de tester, d’observer, de ressentir – et de transformer.

Mode d’emploi :

  • Chaque jour, prenez 10 minutes pour remplir votre journal, chaque soir.
  • L’objectif est d’observer vos réactions, d’expérimenter un lâcher-prise, et de noter l’impact dans votre vie tant professionnelle que personnelle.
  • Répétez les questions suivantes chaque jour.

  1. Aujourd’hui, j’ai consciemment décidé de faire confiance à …Ex : un collaborateur, un proche, la vie elle-même face à une situation.
  2. Concrètement, j’ai lâché le contrôle sur Ex : ne pas revérifier un dossier, laisser mon enfant choisir son planning, écouter sans interrompre..

3. Ce que j’ai ressenti avant –  pendant – après :
   Peurs ? Colère ? Détente ? Surprise ? Soulagement ? Méfiance ? Autre ?

4. Qu’est-ce qui s’est vraiment passé ?
  Les faits :  a-t-on vraiment trahi ma confiance ? L’autre a-t-il répondu différemment de ce que je craignais.

5. Une croyance que je remets en question aujourd’hui :
   Ex : “Je dois tout contrôler pour que ça fonctionne”. Est-elle toujours vraie ?

6. Une phrase pour moi-même ce soir :
   Ex : “Je suis capable de vivre même si tout ne se passe pas comme prévu.”

Suggestion de mantra pour toute la semaine :

Choisissez celui  qui vous sied le plus :

« Chaque jour, je choisis de faire confiance à la vie et d’accueillir ses cadeaux avec enthousiasme et reconnaissance. »

«Je me libère du passé et j’accueille l’instant présent avec confiance et sérénité.»

En guise de conclusion :

Et si aujourd’hui, vous faisiez juste un pas. Un seul. Vers un peu plus de confiance, un peu moins de tension. Ce n’est pas parfait, mais c’est vivant. Et c’est déjà magnifique.

Rappelez-vous : derrière le masque du contrôlant se cache un être d’une grande force, qui n’a plus besoin de tout diriger pour se sentir en sécurité. La vraie liberté, c’est de pouvoir lâcher prise… et se sentir entier quand même.

Bravo d’être arrivé (e) au bout de cette lecture active ! Prenez le temps de pratiquer les outils proposés et partagez ce que vous ressentez dans les commentaires ou en privé.

Pour davantage de détails, vous pouvez approfondir les travaux de Lise Bourbeau : La guérisons des blessures » 2025, « Les 5 blessures qui empêchent d’être soi-même » 2000, actuellement en pocket et son dernier livre qu’elle a co-écrit avec Nathalie Sainte-Marie « Les 5 blessures et ta vie professionnelle » Editions E.T.C. INC. 2024.

Si vous aimez les romans, vous pouvez libre « Le jour où les lions mangeront de la salade verte »  de Raphaëlle Giordano. Pocket, 2019.

Et bien sûr, vous pouvez me contacter directement au numéro de téléphone +33.679.31.85.09 ou sur mon mail

                                                suzanne@bienetreetlecturesinspirantes.com

A très bientôt pour la semaine 6. Ne lâchez rien. Continuez votre transformation avec confiance.

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